Ceci ne doit pas vous laisser indifférent !
– 1/4 des faillites des entreprises est le fait des retards de paiement.
– Une entreprise réalisant 5% de marge nette doit générer un chiffre d’affaires additionnel de 20 fois le montant de la facture impayée concernée.
Ce chiffre monte à 100 fois le montant de la facture impayée pour une entreprise réalisant 1% de marge nette.
Pour minimiser le risque des impayés sur votre trésorerie et protéger votre entreprise, il est nécessaire de systématiquement mettre en place une procédure graduée :
- Traitement administratif, juridique et comptable de qualité
– Assurez-vous de la bonne rédaction de vos conditions générales et de leur signature par vos clients.
– Assurez-vous de la bonne signature de toutes les pièces commerciales et contractuelles (devis, bons de commande, bons de livraisons, contrats…).
– Assurez-vous de la bonne et rapide facturation de vos clients.
Pourquoi ? Eviter des éventuelles contestations et en conséquence des refus et/ou des retards de paiement.
- Relances préventives : elles devraient intervenir avant les dates des échéances de vos factures,
Pourquoi ?Le contact avec vos clients vous permet de ; vérifier la bonne réception des factures, détecter des éventuels points de blocage, avoir des informations sur vos clients et ainsi vous prémunir du risque et anticiper les solutions.
- Recouvrement amiable : les actions de relances doivent intervenir après la date d’échéance de vos factures, il est recommandé de les engager au plus vite afin d’augmenter vos chances de récupérer vos créances.
Pourquoi ?
Assurez-vous que votre client a bien l’intention de vous payer. Posez lui les bonnes questions afin de connaitre les raisons du retard de paiement. Son comportement face à vos relances doit vous alerter sur l’issue qu’il donnera au paiement de vos factures. Négocier avec lui les modalités de la régularisation, des délais, obtenir son adhésion et son engagement ferme et exprès.
Détecter un comportement de fuite, une difficulté financière passagère ou plus durable ou encore une mauvaise foi et ce afin de vous prémunir du risque et l’anticiper rapidement.
- Recouvrement judiciaire : la phase ultime, bien que très souvent nous souhaitons tous l’éviter, elle est essentielle pour préserver vos intérêts.
Pourquoi ?
Seul le tribunal peut forcer une partie à s’exécuter. Arrêter l’échéance de prescription de votre créance.
Vous pouvez être confiant pour obtenir une décision de justice favorable dès lors que l’ensemble des démarches de relances ont été accomplies correctement, qu’il n’y a pas de contestation réelle et sérieuse et qu’il est prouvé une mauvaise foi manifeste de votre débiteur.
Une fausse idée à abandonner !
« La phase judiciaire coûteuse, longue, pas efficace. »
Il faut savoir qu’ils existent des nombreuses procédures judiciaires rapides, efficaces et peu coûteuses et qui n’exigent pas forcément l’intervention d’un avocat.
Toutes ces démarches demandent du temps, des outils, la mobilisation et l’engagement de vos équipes, l’expertise et le conseil de professionnels du recouvrement et par conséquent un investissement non négligeable mais indispensable à la survie de votre entreprise.
Un conseil : Ne tardez pas à mettre ces processus en place et à y consacrer l’énergie, le temps et l’argent nécessaire, il en va de la survie de votre entreprise !
Notre cabinet Cofag & Associés, Expert en recouvrement de créances, vous conseille, vous propose des solutions et vous accompagne dans vos projets.
- Relances commerciales
- Recouvrement amiable
- Recouvrement judiciaire
Laisser un commentaire