Younited, Klarna, Alma, Silvr, Pledg, Joe, HelloAria, Scalapay, DeFacto, Bling…
De nombreuses Fintechs françaises se spécialisent autour des activités de financement pour les particuliers (crédit à la consommation, paiement fractionné, avance de trésorerie…) ou auprès de professionnels (crowdfunding pour financement des PMEs, paiement BtoB en n-fois, revenue-based finance…).
En hyper croissance, ces Fintechs se tournent généralement vers des banques ou des fonds de dettes spécialisés lorsqu’elles ont besoin d’accompagner leur développement.
Pour garantir ces financements, les prêteurs s’appuient souvent sur une structuration complexe qui consiste à créer des véhicules spécialisés (SPV – Special Purpose Véhicule, FCT – Fonds Commun de Titrisation, OFS – Organisme de financement spécialisé) qui détiennent les créances « originées » par la Fintech mais sur lesquelles les financeurs ont la main en cas de défaillance de l’émetteur.
Pour octroyer de tels financements, la banque ou le fonds spécialisé a un prérequis incontournable : mandater un backup servicer (le « BUS »). Le BUS est une société en capacité de gérer et d’opérer ce fonds jusqu’à extinction en cas de cessation d’activité du donneur d’ordre initial.
Le rôle du BUS est de pouvoir se substituer rapidement (en moins de 48h) à la Fintech pour pouvoir gérer l’extinction du véhicule propriétaire des créances. En vulgarisant, la banque va se rembourser directement sur les créances des clients en cas de faillite de la Fintech à l’origine du prêt.
Pour cela, le BUS doit avoir développé en amont des solutions technologiques automatisées avec les différents Prestataires de Services de Paiement (les « PSP ») de la Fintech pour jouer le rôle de donneur d’ordre dans les plus brefs délais.
« Notre capacité à mobiliser notre équipe Tech dans des délais très courts et sur des solutions complexes est une véritable force par rapport à nos concurrents. » présente David SABINO, le CIO de ClubFunding Group.
Des développements et des APIs déjà opérationnels avec les principaux PSPs comme Stripe, Adyen ou Checkout permettent aux équipes de CF2C d’être opérationnelles immédiatement et aux Fintechs d’obtenir des financements dans les meilleurs délais.
« Nous avons été impressionnés par la capacité de CF2C à développer des APIs puissantes dans un calendrier très serré. La compréhension des enjeux financiers et des structurations complexes par les équipes est une vraie force en matière de mise en œuvre de solutions de backup servicing en France. » poursuit Louis PIERART qui couvre les Fintechs chez BNP Paribas.
En cas de déclenchement du BUS, CF2C prend donc la main en moins de 48h pour gérer le run-off du fonds et rembourse directement la banque avec les encaissements réalisés sur les créances clients jusqu’à l’extinction du véhicule.
Fortes de plusieurs expériences en BUS auprès des Fintechs françaises, CF2C, filiale de ClubFunding Group et membre du Next40, est déjà accrédité par la plupart des banques françaises et financeurs de la place.
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